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Accédez à votre coffre
 
Nos solutions : Simplicité 100%
 
Rien à installer sur votre ordinateur

* Données cryptées
* Fiabilité des originaux et des copies : 100%

Le coffre accepte tous les formats : PDF, images, texte, photos...etc… vous pouvez y déposer diverses catégories de documents.
Le coffre peut être connecté à vos applications déjà existantes.

Vous êtes seul a pouvoir accéder à ce qui est déposé dans votre coffre, de n'importe quel endroit.
Votre coffre vous appartient, que vous changiez de partenaire ou fournisseur, vous gardez "à votre main" vos documents, sous votre contrôle, en toute indépendance : votre coffre est personnel et individuel.


AVEC UNE TRIPLE GARANTIE :

* Conservation Sécurisée des documents immatériels (+Certification et valeur probante de la Signature Électronique)
* Serveur de preuves, conservation et administration des preuves signées
* Protection des données personnelles (Privacy)

 
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Minimum requis :
 
Votre pc
Votre connexion Internet, et un navigateur,
C'est tout!

 
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L'archivage légal à la portée des PME et professions libérales
 
L’ensemble de vos données peut être conservé : comptabilité, images, fichiers Word, Excel, PowerPoint, gif, jpeg, ...
Avec des coûts prévisibles, sans coûts cachés.
Pas de licence onéreuse.
Les avantages d'une technologie reconnue comme performante, sans avoir les difficultés humaines ou matérielles de solutions internalisées .

Liberté :
Maîtrise de vos archives et de leur gestion dans le temps.

Indépendance, réversibilité et interopérabilité :
Indépendance et réversibilité de la solution grâce au format public et ouvert des archives XML publié sur Internet.
Indépendance et réversibilité de la solution grâce à l’utilisation des normes et standards internationaux.
Interopérabilité.

Garantie d’intégrité :
Grâce au scellement cryptographique des archives par signature électronique
Vérification aisée de l’intégrité des archives grâce à l’outil de gestion de la preuve.

 
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Comment ça marche ? :
 
Vous y accédez par un simple navigateur en mode sécurisé
Vous déposez, consultez, déplacez vos documents, suivant votre propre gestion.
C'est aussi simple que cela !


Les coffres archiveslegalsolutions peuvent être connectés à vos applications existantes, (à plusieurs applications différentes) et acceptent tous les formats ou style de documents.
Ces coffres sont externalisés, en mode Saas.
Vous choisissez la volumétrie qui vous convient ainsi que le temps de conservation:

- Vous choisissez le temps de conservation : 1, 2, 3, 6,7…… 10ans, ou plus!
- Vous déposez dans votre coffre personnel vos documents
- Vous les consultez quand vous le voulez, où que vous soyez.
- Les documents déposés sont classés suivant votre logique : vous retrouvez vos documents, rapidement. (Même si vous avez déposé un document dans un mauvais dossier)
- Vous n'égarez plus vos documents importants
- Vous gérez comme vous l'entendez le contenu de votre coffre en toute confidentialité. (personne, hors vous, ne peut connaitre le contenu de votre coffre , même pas les développeurs chargés de la maintenance).
- Vous avez une garantie d'accès et de réversibilité comme l'exige la réglementation
- Le coffre est indépendant de votre système, ne le surcharge donc pas
- Le coffre comporte plusieurs certificats internes.
- Même en cas de sinistre (inondation, incendie) vous savez que vous conservez vos documents.

- La solution est conçue pour qu'il n'y ait pas de défaillance : Il y a redondance des sites et serveurs, afin de parer à toutes éventualités.

Archives Legal Solutions archive (de façon probante) toutes vos données sur plusieurs serveurs fiables à 100% dans des data-centers en ile de France.

 
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Transport de votre document jusqu'au coffre
 
 
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Consultation de vos documents
 
 
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ROI de l'archivage électronique
 
Source : Arnaud Belleil - Cecurity.com
Actualités>avis d'experts 2008

Cet article reprend les éléments d’une intervention réalisée en collaboration avec Catherine Groos, ArchivesLegalSolutions.com, le 25 novembre 2008 dans le cadre d’une conférence organisée par Comundi.

En période de resserrement des budgets, les projets d’archivage électronique peuvent faire partie des priorités différées. Les responsables du domaine vont alors être tentés au sein des organisations de motiver et convaincre leur direction en utilisant une approche de type ROI (Return on Investment). Il s’agira de montrer que ces chantiers ne se limitent pas à engendrer des coûts mais qu’ils sont également susceptibles de procurer des avantages à l’organisation, d’être « rentables ». Quels peuvent être alors les arguments mobilisés pour défendre une telle vision ?

Il conviendra d’abord de distinguer deux types de ROI qui ne relèvent pas de la même logique économique. En premier lieu, on peut prendre en considération le ROI d’une application de dématérialisation comprenant un volet archivage électronique. En effet, toute dématérialisation implique une conservation sécurisée. La facture électronique fiscalement dématérialisée constitue un exemple emblématique avec la réduction des coûts d’éditique liés à l’impression, la mise sou pli ou encore l’affranchissement. Le coût engendré par la mise en place d’une solution d’archivage légal est alors plus que compensé par la suppression du papier et le ROI global de la dématérialisation s’avère positif.

En second lieu, il est possible d’analyser le ROI d’une plateforme d’archivage électronique susceptible de recueillir des documents issus de différentes filières métier de l’organisation qu’ils soient nativement électroniques - signés ou non - ou numérisés. Les avantages sont alors de trois types : possibilité de créer de nouveaux services, réduction des coûts et maîtrise des risques.

La création potentielle de nouveaux services est un argument stratégique difficilement quantifiable avant la mise en œuvre d’un projet d’archivage électronique. Cependant, il ne doit pas être oublié dans la mesure où dans l’économie de l’information, le patrimoine informationnel est créateur de valeur. L’argument ne permettra pas à lui seul de légitimer un projet d’archivage électronique mais il apparaîtra souvent, après coup, comme un avantage complémentaire.

Pour le reste, on retrouve les domaines déjà identifié en 2007 lors de l’étude réalisée par Markess sur les principaux éléments déclenchant l’archivage des contenus électroniques. Les 165 organisations interrogées classaient alors leurs motivations dans l’ordre suivant : accès facilité aux contenus & information partagée ; contexte légal et règlementaire ; réduction des coûts & gain de productivité.

Réduction des coûts : le temps plutôt que l’espace
Lorsqu’on aborde la question de la réduction des coûts associée à l’archivage électronique, il est parfois tentant de prétendre que les m2 de linéaires consacrés aux archives papier seront voués à la disparition. Au risque de remettre partiellement en cause un lieu commun, il est important de souligner que les économies ne seront pas forcément très spectaculaires en la matière. En effet, le papier ne va pas disparaître de l’organisation et, pendant un certain nombre d’années, il va coexister avec l’électronique. Il conviendra donc de disposer de deux systèmes d’archivage dont il sera difficile de prétendre qu’ils s’avèreront nettement moins onéreux que l’ancien système uniquement dédié aux documents papier. Les économies peuvent en revanche être significatives si la mise en œuvre de l’archivage électronique permet de renoncer à un investissement tel que la construction ou la location d’un nouveau bâtiment pour absorber la croissance de le masse des archives papier.

Les économies d’espace existent mais elles ne peuvent à elle seules justifier la rentabilité d’un système d’archivage électronique car les véritables gains se situent dans la diminution du coût d’accès à l’information. Selon différentes études, on passe 50% de son temps à chercher de l’information et seulement 5 à 15% à la lire. Marc Delhaie, Directeur général d’Iron Moutain France, indique pour sa part, dans un article cfo.news du 3 novembre 2008 qu’une une entreprise perd en moyenne un document sur 20 et que celui-ci prend, toujours en moyenne, 25 heures à être recréé. Si l’on opère un rapprochement entre les heures consacrées – perdues – à rechercher ou à reconstituer de l’information et les coûts salariaux associés, les projets d’archivage électronique deviennent assez naturellement rentables sur une période relativement courte.

Si la conservation électronique coûte parfois aussi cher que l’archivage papier, le traitement d’une archive électronique (rechercher, diffuser, publier, partager) est beaucoup plus économique que celui d’une archive papier.

Combien cela peut coûter si on ne le fait pas ?
L’archivage électronique doit-il pour autant être nécessairement rentable ? Lorsqu’on parle d’archivage à vocation probatoire (ou « archivage légal »), on est bien souvent dans le domaine des obligations réglementaires. Il n’est pas forcément judicieux d’opter pour un mode de réflexion qui fait de l’observation de la loi une option éventuelle que l’entreprise à la faculté de retenir ou d’écarter, même temporairement.

La maîtrise du risque de conformité autorise pourtant à placer le débat sous l’angle économique à condition de retenir la bonne question qui n’est plus « combien cela coûte ? » mais bien « combien cela peut coûter si on ne le fait pas ? ». C’est le même type de raisonnement économique que celui appliqué aux solutions de sécurité informatique - quel est le ROI d’un firewall ? – voire pour les primes d’assurances. La quantification consistera alors à estimer la probabilité de survenance d’un évènement et les coûts qui pourraient en résulter en l’absence de solutions adaptées en matière d’archivage probatoire. Ces coûts peuvent inclure les condamnations, amendes mais aussi les frais de justice, le temps perdu par le management ou les atteintes à l’image de marque (des analystes considèrent que le coût de l’atteinte de l’image est en moyenne sept fois supérieur aux coûts directs engagés dans un sinistre, qu’il soit matériel ou financier).

En conclusion, il est possible d’aborder la question de l’archivage électronique sous l’angle de son retour sur investissement à condition de rester prudent sur la diminution des coûts de l’archivage papier et en insistant sur les deux dimensions essentielles que sont la réduction du temps d’accès à l’information et la maîtrise du risque.
 
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